/ extrait vidéo

Symphonie (In)ouïe est un concert rêvé qui coud, en sons et en images, les fragments d'un discours musical et filmique dont les composants visuels sont entrelacés avec le fil sonore que suit l'ouïe. Dans un unique espace de transition permanente, celui d'un entrepôt où le son et ses vecteurs restent en suspens malgré des ébauches de communication, s'esquisse un parcours de souvenirs truffé d'incohérences. La dissociation entre l'image et le son projette le mouvement dans l'espace, et celui-ci se fait temps musical, comme si la vacuité des lieux redisait les balbutiements du discours et la difficulté d'abolir les distances. Mais la vie s'insinue, par bribes burlesques : la pluie force le souffle du tubiste, le froid contraint à réchauffer la flûte, le trajet boiteux d'un homme soutire des souffles à un accordéon. Et une voix distante, par un haut-parleur, renoue avec une continuité mélodique qui fait deviner, dans les marges, la symphonie latente. (texte Stéphane Valdenaire)

 

SYMPHONIE (IN)OUÏE

vidéo HD 5.1

Production Le Fresnoy 2011

/ projections passées

  • Première le 8/06/2011 au Fresnoy, Tourcoing
  • Exposé au CEAAC, Strasbourg 15/09/2011-16/10/2011
  • Visible en ligne au Streaming Festival, La Hague, 1-18/12/2011
  • Festival du film vidéo, AVIFF http://www.artshow-cannes.com, Cannes, 04/2012
  • International Film Festival http://fest.pt, Espinho, Portugal, 01-08/07/12
  • Évènement Arts Numériques, http://www.audiorama.org/oeiloreille/oeil-et-oreille, Strasbourg, 10/2012
  • Naoussa International Film Festival, www.niff.gr, Naoussa, Grèce, 26-30/09/12
  • Les 25es Instants Vidéo Numériques et Poétiques, http://instantsvideo.com/ Friche la Belle de Mai, Marseille, 9/11/12
  • Saison Video http://www.saisonvideo.com 3-16/12/12

contact@zahrapoonawala.org

Symphonie (In)ouïe est un concert rêvé qui coud, en sons et en images, les fragments d'un discours musical et filmique dont les composants visuels sont entrelacés avec le fil sonore que suit l'ouïe. Dans un unique espace de transition permanente, celui d'un entrepôt où le son et ses vecteurs restent en suspens malgré des ébauches de communication, s'esquisse un parcours de souvenirs truffé d'incohérences. La dissociation entre l'image et le son projette le mouvement dans l'espace, et celui-ci se fait temps musical, comme si la vacuité des lieux redisait les balbutiements du discours et la difficulté d'abolir les distances. Mais la vie s'insinue, par bribes burlesques : la pluie force le souffle du tubiste, le froid contraint à réchauffer la flûte, le trajet boiteux d'un homme soutire des souffles à un accordéon. Et une voix distante, par un haut-parleur, renoue avec une continuité mélodique qui fait deviner, dans les marges, la symphonie latente. (texte Stéphane Valdenaire)

 

SYMPHONIE (IN)OUÏE

vidéo HD 5.1

Production Le Fresnoy 2011

/ extrait vidéo

/ projections passées

  • Première le 8/06/2011 au Fresnoy, Tourcoing
  • Exposé au CEAAC, Strasbourg 15/09/2011-16/10/2011
  • Visible en ligne au Streaming Festival, La Hague, 1-18/12/2011
  • Festival du film vidéo, AVIFF http://www.artshow-cannes.com, Cannes, 04/2012
  • International Film Festival http://fest.pt, Espinho, Portugal, 01-08/07/12
  • Evenement Arts Numériques, http://www.audiorama.org/oeiloreille/oeil-et-oreille, Strasbourg, 10/2012
  • Naoussa International Film Festival, www.niff.gr, Naoussa, Grèce, 26-30/09/12
  • Les 25es Instants Vidéo Numériques et Poétiques, http://instantsvideo.com/ Friche la Belle de Mai, Marseille, 9/11/12
  • Saison Video http://www.saisonvideo.com 3-16/12/12

 

  • MENU
  • MENU

SYMPHONIE (IN)OUÏE

vidéo HD 5.1

Production Le Fresnoy 2011

Symphonie (In)ouïe est un concert rêvé qui coud, en sons et en images, les fragments d'un discours musical et filmique dont les composants visuels sont entrelacés avec le fil sonore que suit l'ouïe. Dans un unique espace de transition permanente, celui d'un entrepôt où le son et ses vecteurs restent en suspens malgré des ébauches de communication, s'esquisse un parcours de souvenirs truffé d'incohérences. La dissociation entre l'image et le son projette le mouvement dans l'espace, et celui-ci se fait temps musical, comme si la vacuité des lieux redisait les balbutiements du discours et la difficulté d'abolir les distances. Mais la vie s'insinue, par bribes burlesques : la pluie force le souffle du tubiste, le froid contraint à réchauffer la flûte, le trajet boiteux d'un homme soutire des souffles à un accordéon. Et une voix distante, par un haut-parleur, renoue avec une continuité mélodique qui fait deviner, dans les marges, la symphonie latente. (texte Stéphane Valdenaire)

 

/ photos

caption
caption
caption
caption

/ extrait vidéo

/ projections passées

  • Première le 8/06/2011 au Fresnoy, Tourcoing
  • Exposé au CEAAC, Strasbourg 15/09/2011-16/10/2011
  • Visible en ligne au Streaming Festival, La Hague, 1-18/12/2011
  • Festival du film vidéo, AVIFF http://www.artshow-cannes.com, Cannes, 04/2012
  • International Film Festival http://fest.pt, Espinho, Portugal, 01-08/07/12
  • Evenement Arts Numériques, http://www.audiorama.org/oeiloreille/oeil-et-oreille, Strasbourg, 10/2012
  • Naoussa International Film Festival, www.niff.gr, Naoussa, Grèce, 26-30/09/12
  • Les 25es Instants Vidéo Numériques et Poétiques, http://instantsvideo.com/ Friche la Belle de Mai, Marseille, 9/11/12
  • Saison Video http://www.saisonvideo.com 3-16/12/12

 

ZAHRA POONAWALA

  • MENU

ZAHRA POONAWALA

  • MENU

Symphonie (In)ouïe est un concert rêvé qui coud, en sons et en images, les fragments d'un discours musical et filmique dont les composants visuels sont entrelacés avec le fil sonore que suit l'ouïe. Dans un unique espace de transition permanente, celui d'un entrepôt où le son et ses vecteurs restent en suspens malgré des ébauches de communication, s'esquisse un parcours de souvenirs truffé d'incohérences. La dissociation entre l'image et le son projette le mouvement dans l'espace, et celui-ci se fait temps musical, comme si la vacuité des lieux redisait les balbutiements du discours et la difficulté d'abolir les distances. Mais la vie s'insinue, par bribes burlesques : la pluie force le souffle du tubiste, le froid contraint à réchauffer la flûte, le trajet boiteux d'un homme soutire des souffles à un accordéon. Et une voix distante, par un haut-parleur, renoue avec une continuité mélodique qui fait deviner, dans les marges, la symphonie latente. (texte Stéphane Valdenaire)